Salut à tous,
Du site Cerveau & Psycho : « Nous sommes peut-être la dernière génération qui vivra dans l'opulence, la santé et la consommation sans frein. Dans trente ans, le monde n'aura plus rien à voir avec ce que nous voyons aujourd'hui. Année après année, les températures montent, les océans aussi, des milliers d'hectares de terres se transforment en désert et des millions de personnes se préparent à quitter leurs foyers pour migrer. De tout cela, nous sommes responsables.
¨ Pour la première fois de son histoire, l'enjeu pour l'humanité va être de se survivre à elle-même. Non plus à des prédateurs, à la faim ou aux maladies, mais à elle-même. Elle n'y est pas préparée. Devant ce défi suprême, elle ne répond que par des incohérences. La preuve. Pourquoi, alors que nous sommes dotés d'outils extrêmement précis qui nous informent clairement de la tournure que vont prendre les événements dans quelques décennies, restons-nous impassibles ? Pourquoi, face à la catastrophe, continuons à agir comme par le passé ? Qu'est-ce qui, en nous, est si dysfonctionnel ?
Pour répondre à cette question, je me suis penché sur la part la plus intime et la moins visible de ce qui fait notre humanité. Ce qui nous échappe, blotti au fond de notre boîte crânienne, si obscur et si caché, mais qui nous gouverne. Notre cerveau.
Le bug humain !
Le cerveau humain est programmé pour poursuivre quelques objectifs essentiels, basiques, liés à sa survie à brève échéance : manger, se reproduire, acquérir du pouvoir, le faire avec un minimum d'efforts et glaner un maximum d'informations sur son environnement. Ces cinq grands objectifs ont été le leitmotiv de tous les cerveaux qui ont précédé le nôtre sur le chemin accidenté de l'évolution des espèces vivantes.
Manger sans faim !
En 2016, l'Organisation mondiale de la santé livrait un rapport selon lequel on meurt plus sur Terre aujourd'hui de suralimentation que de dénutrition. Aujourd'hui, plus de 1,9 milliard d'individus de plus de 18 ans sont en surpoids. Parmi eux, plus de 650 millions sont obèses. Ces chiffres ont triplé en 40 ans et en 2030, on s'attend à ce que 38 % de l'humanité soit en surpoids, et 20 % obèses. Notre striatum est programmé pour cela, et nous pousse à engouffrer encore et toujours plus. [...]
Le futur ? rien à faire !
En 2017, les États-Unis présidés par Donald Trump se sont retirés des accords de Paris sur le climat, qui prévoyaient depuis 2015 une série de mesures économiques et industrielles destinées à stabiliser les émissions de dioxyde de carbone à l'horizon de 2030 afin de limiter le réchauffement de la planète à 2 °C à l'horizon 2100. Sur les réseaux sociaux a circulé une vidéo tournant cette décision en ridicule, où l'on voyait le président étatsunien à la tribune de l'ONU, brandissant une pancarte où il était écrit : « Je me fous du climat, car de toute façon je serai bientôt mort. »
¨ Le dogme économique de la croissance est ancré dans le fonctionnement de nos neurones dopaminergiques. Il est presque impossible à enrayer.¨...
( Voir et lire attentivement l'article )
https://www.cerveauetpsycho.fr/sd/psychologie-environnementale/le-cerveau-va-t-il-detruire-notre-planete-16539.php
Pégé
Windows 7 / Windows XP Pro / Windows 10 / Ubuntu 14.04 LTS / Linux Mint 17 MacOS X iBook, version 10.4.11 ¨Tiger¨.
Du site Cerveau & Psycho : « Nous sommes peut-être la dernière génération qui vivra dans l'opulence, la santé et la consommation sans frein. Dans trente ans, le monde n'aura plus rien à voir avec ce que nous voyons aujourd'hui. Année après année, les températures montent, les océans aussi, des milliers d'hectares de terres se transforment en désert et des millions de personnes se préparent à quitter leurs foyers pour migrer. De tout cela, nous sommes responsables.
¨ Pour la première fois de son histoire, l'enjeu pour l'humanité va être de se survivre à elle-même. Non plus à des prédateurs, à la faim ou aux maladies, mais à elle-même. Elle n'y est pas préparée. Devant ce défi suprême, elle ne répond que par des incohérences. La preuve. Pourquoi, alors que nous sommes dotés d'outils extrêmement précis qui nous informent clairement de la tournure que vont prendre les événements dans quelques décennies, restons-nous impassibles ? Pourquoi, face à la catastrophe, continuons à agir comme par le passé ? Qu'est-ce qui, en nous, est si dysfonctionnel ?
Pour répondre à cette question, je me suis penché sur la part la plus intime et la moins visible de ce qui fait notre humanité. Ce qui nous échappe, blotti au fond de notre boîte crânienne, si obscur et si caché, mais qui nous gouverne. Notre cerveau.
Le bug humain !
Le cerveau humain est programmé pour poursuivre quelques objectifs essentiels, basiques, liés à sa survie à brève échéance : manger, se reproduire, acquérir du pouvoir, le faire avec un minimum d'efforts et glaner un maximum d'informations sur son environnement. Ces cinq grands objectifs ont été le leitmotiv de tous les cerveaux qui ont précédé le nôtre sur le chemin accidenté de l'évolution des espèces vivantes.
Manger sans faim !
En 2016, l'Organisation mondiale de la santé livrait un rapport selon lequel on meurt plus sur Terre aujourd'hui de suralimentation que de dénutrition. Aujourd'hui, plus de 1,9 milliard d'individus de plus de 18 ans sont en surpoids. Parmi eux, plus de 650 millions sont obèses. Ces chiffres ont triplé en 40 ans et en 2030, on s'attend à ce que 38 % de l'humanité soit en surpoids, et 20 % obèses. Notre striatum est programmé pour cela, et nous pousse à engouffrer encore et toujours plus. [...]
Le futur ? rien à faire !
En 2017, les États-Unis présidés par Donald Trump se sont retirés des accords de Paris sur le climat, qui prévoyaient depuis 2015 une série de mesures économiques et industrielles destinées à stabiliser les émissions de dioxyde de carbone à l'horizon de 2030 afin de limiter le réchauffement de la planète à 2 °C à l'horizon 2100. Sur les réseaux sociaux a circulé une vidéo tournant cette décision en ridicule, où l'on voyait le président étatsunien à la tribune de l'ONU, brandissant une pancarte où il était écrit : « Je me fous du climat, car de toute façon je serai bientôt mort. »
¨ Le dogme économique de la croissance est ancré dans le fonctionnement de nos neurones dopaminergiques. Il est presque impossible à enrayer.¨...
( Voir et lire attentivement l'article )
https://www.cerveauetpsycho.fr/sd/psychologie-environnementale/le-cerveau-va-t-il-detruire-notre-planete-16539.php
Pégé
Windows 7 / Windows XP Pro / Windows 10 / Ubuntu 14.04 LTS / Linux Mint 17 MacOS X iBook, version 10.4.11 ¨Tiger¨.