Salut à tous,
Du site LaPresse : Ce qui se passe en Chine est aussi une crise environnementale qui nécessite des réponses bien plus globales que médicales. Quand cette catastrophique et triste épidémie autour du coronavirus de Wuhan, désormais appelé le COVID-19, sera derrière la Chine, il faudra que ce pays se pose des questions autour du commerce d’animaux sauvages sur ses marchés.
https://www.lapresse.ca/debats/opinions/202002/14/01-5261031-covid-19-et-libido-anxiete.php?fbclid=IwAR16FaipQNLFpaV6SUKWQ0PwN1NV4oSUHODwJSVXnMPlgHDt6EEgElC_Qoo
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Voir aussi : Du site Le Monde : « Une fois le coronavirus oublié, l’appétit des Chinois remettra le pangolin sur les tables ».
¨ Le pangolin va-t-il enfin quitter les marchés et les assiettes des Chinois ? Pékin a décidé, lundi 24 février, d’interdire la vente et la consommation d’animaux sauvages, des pratiques suspectées d’être à l’origine de l’épidémie du nouveau coronavirus. Une décision qui pourrait influer sur le destin de ce petit animal aux formes aussi étranges que les vertus qui lui sont prêtées. Et dont certains scientifiques estiment aujourd’hui qu’il pourrait avoir servi de vecteur de transmission du Covid-19¨... ( Voir l'article au complet )
https://www.lemonde.fr/afrique/article/2020/02/25/une-fois-le-coronavirus-oublie-l-appetit-des-chinois-remettra-le-pangolin-sur-les-tables_6030812_3212.html
Pégé
Windows 7 / Windows 10 / Ubuntu 18.04 LTS / Linux Mint 19
Du site LaPresse : Ce qui se passe en Chine est aussi une crise environnementale qui nécessite des réponses bien plus globales que médicales. Quand cette catastrophique et triste épidémie autour du coronavirus de Wuhan, désormais appelé le COVID-19, sera derrière la Chine, il faudra que ce pays se pose des questions autour du commerce d’animaux sauvages sur ses marchés.
¨ Au cœur du problème, il y a aussi la destruction de l’habitat qui favorise le contact avec les animaux sauvages porteurs de microbes, dont des bactéries, des virus et des parasites capables de nous refiler ces maladies appelées des zoonoses. Le virus Ebola, le sida, le SRAS et probablement le COVID-19 appartiennent tous à ce groupe de maladies humaines d’origine animale. Les spécialistes de la question s’accordent désormais pour dire que les solutions durables à ces problèmes comme celui que traverse actuellement la Chine passent par des approches intégrant à la fois la santé animale et humaine, mais aussi la santé environnementale, notamment la protection de la biodiversité et de son habitat. Cette approche, mise de l’avant au début des années 2000 et dénommée One World, One Health, est certainement la médecine préventive la plus efficace que la Chine devra adopter.
Pour cela, il faut que le pays de Xi Jinping donne un solide un coup de barre dans ces marchés où on vend des animaux sauvages pour la consommation humaine.
Sinon, à la fin de cette bataille qu’elle livre contre le COVID-19, il faudra que la Chine se prépare pour une autre offensive microbienne dans un avenir pas lointain.
Tant qu’à attaquer le problème de front, la Chine devrait aussi faire un sérieux ménage dans les départements de sa médecine traditionnelle, surtout ceux consacrés aux aphrodisiaques qui font aussi certainement partie du problème. Les pannes de libido de ce populeux pays semblent être un problème sérieux qui coûte très cher à la biodiversité planétaire. Pensez ici à la corne de rhinocéros qui, une fois réduite en poudre, agrémente des soupes ou est encapsulée et vendue à fort prix à des hommes convaincus que toute la force du pachyderme sera miraculeusement transposée dans leur zigounette ¨ ... ( Voir l'article au complet )
https://www.lapresse.ca/debats/opinions/202002/14/01-5261031-covid-19-et-libido-anxiete.php?fbclid=IwAR16FaipQNLFpaV6SUKWQ0PwN1NV4oSUHODwJSVXnMPlgHDt6EEgElC_Qoo
Voir aussi : Du site Le Monde : « Une fois le coronavirus oublié, l’appétit des Chinois remettra le pangolin sur les tables ».
¨ Le pangolin va-t-il enfin quitter les marchés et les assiettes des Chinois ? Pékin a décidé, lundi 24 février, d’interdire la vente et la consommation d’animaux sauvages, des pratiques suspectées d’être à l’origine de l’épidémie du nouveau coronavirus. Une décision qui pourrait influer sur le destin de ce petit animal aux formes aussi étranges que les vertus qui lui sont prêtées. Et dont certains scientifiques estiment aujourd’hui qu’il pourrait avoir servi de vecteur de transmission du Covid-19¨... ( Voir l'article au complet )
https://www.lemonde.fr/afrique/article/2020/02/25/une-fois-le-coronavirus-oublie-l-appetit-des-chinois-remettra-le-pangolin-sur-les-tables_6030812_3212.html
Pégé
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