Géopolitique : Le diable est aux vaches ! (*)
Salut à tous,
Du site Huffpost Québec : Les exemples actuels de dérives autoritaires sont trop nombreux de par le monde pour les ignorer !
¨ (*) Cette vieille expression française, synonyme de confusion, de chaos et de désordre, traduit bien l'état du monde actuel.
Lorsque le leader du monde libre, les États-Unis d'Amérique, cesse d'être un phare dans la nuit des peuples, lorsque la plus grande démocratie implose sous le poids de ses propres faiblesses érigées en dogmes constitutionnels intouchables (comme le droit de porter des armes), lorsque le président de ce pays-là en vient à se conduire comme un bully de cour d'école, alors les repères moraux disparaissent et l'on se retrouve dans un monde où règne la loi du plus fort.
Loin de la Déclaration d'Indépendance et des nobles principes démocratiques qui l'inspirèrent, au lieu de servir d'étoile polaire politique, le compas moral américain, depuis la Guerre d'Irak et en particulier sous l'administration actuelle, cède la place à une girouette qui désoriente les nations du monde qui étaient pourtant prêtes à s'orienter sur l'idéal démocratique.
Et comme un refrain incantatoire, on nous répète qu'il faut maintenir la loi et l'ordre, la loi et l'ordre, la loi et l'ordre...
Mais de quelle loi et de quel ordre parle-t-on? Un ordre constitutionnel, imposé au plus faible par le plus fort, pour enfermer des peuples, aujourd'hui les Catalans et qui sait demain les Québécois, dans des prisons juridiques? Un ordre économique qui se traduit le plus souvent par l'esclavage des peuples et des individus et leur soumission aux diktats et aux intérêts des entreprises multinationales, sans nom et, surtout, sans conscience?
<<Quiconque remet en cause le bien-fondé de la logique économique, même si elle mène à la surconsommation, au gaspillage, au dépeuplement des régions agricoles et, on le voit trop bien, à un saignement à blanc des ressources de la planète, se fait taxer de gauchisme>>¨...
( Voir le blogue au complet)
https://quebec.huffingtonpost.ca/patrice-dallaire/le-diable-est-aux-vaches-1_a_23318604/?ncid=tweetlnkcahpmg00000011
Pégé
Windows 7 / Windows XP Pro / Windows 10 / Ubuntu 14.04 LTS / Linux Mint 17 MacOS X iBook, version 10.4.11 ¨Tiger¨.
Du site Huffpost Québec : Les exemples actuels de dérives autoritaires sont trop nombreux de par le monde pour les ignorer !
¨ (*) Cette vieille expression française, synonyme de confusion, de chaos et de désordre, traduit bien l'état du monde actuel.
Lorsque le leader du monde libre, les États-Unis d'Amérique, cesse d'être un phare dans la nuit des peuples, lorsque la plus grande démocratie implose sous le poids de ses propres faiblesses érigées en dogmes constitutionnels intouchables (comme le droit de porter des armes), lorsque le président de ce pays-là en vient à se conduire comme un bully de cour d'école, alors les repères moraux disparaissent et l'on se retrouve dans un monde où règne la loi du plus fort.
Loin de la Déclaration d'Indépendance et des nobles principes démocratiques qui l'inspirèrent, au lieu de servir d'étoile polaire politique, le compas moral américain, depuis la Guerre d'Irak et en particulier sous l'administration actuelle, cède la place à une girouette qui désoriente les nations du monde qui étaient pourtant prêtes à s'orienter sur l'idéal démocratique.
La loi et l'ordre
La « loi du plus fort » est généralement accompagnée d'un complément : l'ordre. On revient donc à l'idée ultraconservatrice de la loi et l'ordre, couple « enfanteur » des pires dérives autoritaires et populistes.Et comme un refrain incantatoire, on nous répète qu'il faut maintenir la loi et l'ordre, la loi et l'ordre, la loi et l'ordre...
Mais de quelle loi et de quel ordre parle-t-on? Un ordre constitutionnel, imposé au plus faible par le plus fort, pour enfermer des peuples, aujourd'hui les Catalans et qui sait demain les Québécois, dans des prisons juridiques? Un ordre économique qui se traduit le plus souvent par l'esclavage des peuples et des individus et leur soumission aux diktats et aux intérêts des entreprises multinationales, sans nom et, surtout, sans conscience?
<<Quiconque remet en cause le bien-fondé de la logique économique, même si elle mène à la surconsommation, au gaspillage, au dépeuplement des régions agricoles et, on le voit trop bien, à un saignement à blanc des ressources de la planète, se fait taxer de gauchisme>>¨...
( Voir le blogue au complet)
https://quebec.huffingtonpost.ca/patrice-dallaire/le-diable-est-aux-vaches-1_a_23318604/?ncid=tweetlnkcahpmg00000011
Pégé
Windows 7 / Windows XP Pro / Windows 10 / Ubuntu 14.04 LTS / Linux Mint 17 MacOS X iBook, version 10.4.11 ¨Tiger¨.